Jessica Landi
Professeure d’Artisanat Magique
Atelier n°1 d’Artisanat Magique
1. Présentation
Vous vous apprêtez à suivre un atelier d’Artisanat Magique donné par la professeure Landi. Cet atelier porte sur l’acquis d’extension 1 (qu’on note #E1 : l'art du Derniers Recours)
2. Acquis d’extension n°1
#E1 [SP] L'art du Dernier Recours
Acquis d’extension
L'art du Dernier Recours permet au sorcier de prendre les points d'usure restants d'un objet magique pour payer le coût en point d'épuisement d'un sortilège. Il est nécessaire que l'objet magique soit présent dans le sac du sorcier et qu'il ait été acheté dans les boutiques ou les roulottes. L'utilisation de l'art du Dernier Recours augmente la corruption de l'âme du sorcier de 2 fois le coût en point d'épuisement du sortilège.
Jessica Landi
Professeure d’Artisanat Magique
Jessica prenait de plus en plus ses marques en tant que professeur, elle qui n'avait jusqu'à lors reçu que des septième année qui se destinaient à des métiers en lien avec l'artisanat; et ses enfants bien entendu. Aussi, en ce mois de décembre, elle avait décidé de mener un atelier. C'était un exercice qu'elle aimait particulièrement puisqu'il s'agissait d'enseigner à des adolescents et non plus à des élèves car ils choisissaient eux-mêmes d'assister à cet atelier (contrairement aux cours imposés). Elle était donc à son aise.
La récente professeur d'artisanat salua les élèves de tout âge et de toutes confréries qui se présentèrent devant la salle et attaqua sans plus tarder.
- Prenez place. Pour une fois, vous pouvez choisir votre établi. Dans l'atelier proposé aujourd'hui, nous allons décrypter la puissance d'un objet magique, apprendre à la ressentir pour pouvoir la contrôler et nous en imprégner au point de nous redonner un surplus d'énergie pour jeter un sortilège. Mais attention ce n'est pas un acte à prendre à la légère, il s'agit d'une forme de magie qui n'est disons… pas très conventionnelle. Vous allez vite comprendre pourquoi l'enseignement du jour est nommé dernier recours.
Jessica prit comme exemple un objet tout ce qu'il y a de plus banal, une plume à papote.
- Comme vous le savez peut-être, cette plume à papote comporte trois points d'usure. Tous les objets dotés de magie possèdent des points d'usure, ça vous l'avez déjà appris.
C'était le b.a.-ba de la première année.
- Les points d'usure d'un objet peuvent donc être considérés comme leur énergie. Songez à ceci. Comment un objet est-il devenu magique? Et quelles conséquences cela entraîne t-il ?
Elle leur laissa quelques minutes de réflexion car cela demandait de se pencher dessus tout de même. Elle les autorisa à réfléchir avec leur voisin. Lorsque certains avaient des idées, elle les interrogea en apportant parfois quelques compléments ou nuances. Dans l'ensemble, ils avaient bien compris où elle voulait en venir.
La récente professeur d'artisanat salua les élèves de tout âge et de toutes confréries qui se présentèrent devant la salle et attaqua sans plus tarder.
- Prenez place. Pour une fois, vous pouvez choisir votre établi. Dans l'atelier proposé aujourd'hui, nous allons décrypter la puissance d'un objet magique, apprendre à la ressentir pour pouvoir la contrôler et nous en imprégner au point de nous redonner un surplus d'énergie pour jeter un sortilège. Mais attention ce n'est pas un acte à prendre à la légère, il s'agit d'une forme de magie qui n'est disons… pas très conventionnelle. Vous allez vite comprendre pourquoi l'enseignement du jour est nommé dernier recours.
Jessica prit comme exemple un objet tout ce qu'il y a de plus banal, une plume à papote.
- Comme vous le savez peut-être, cette plume à papote comporte trois points d'usure. Tous les objets dotés de magie possèdent des points d'usure, ça vous l'avez déjà appris.
C'était le b.a.-ba de la première année.
- Les points d'usure d'un objet peuvent donc être considérés comme leur énergie. Songez à ceci. Comment un objet est-il devenu magique? Et quelles conséquences cela entraîne t-il ?
Elle leur laissa quelques minutes de réflexion car cela demandait de se pencher dessus tout de même. Elle les autorisa à réfléchir avec leur voisin. Lorsque certains avaient des idées, elle les interrogea en apportant parfois quelques compléments ou nuances. Dans l'ensemble, ils avaient bien compris où elle voulait en venir.
Jessica Landi
Professeure d’Artisanat Magique
Jessica félicita un élève de cinquième année qui avait résumé le fond de sa pensée.
- Comme l’a dit votre camarade, l’artisan qui fabrique l’objet met de la magie, sa propre magie, son énergie dans l’objet qu’il crée au travers de sortilèges, de charmes, de façonnage de matériau avec des propriétés magiques.
La professeure d’Artisanat prit la plume à côté d’elle.
- Cette plume à papote par exemple, au départ elle n’était qu’une simple plume. Plume qui n’avait rien d’extraordinaire, sans distinction par rapport aux autres. La personne l’ayant conçu, a dû lancer a minima, un sort de traduction modifié, celui de l’encre éternelle et de lévitation. Trois sorts donc. Elle aura transposé trois fois sa magie au minimum. Il peut y avoir des plumes à papote beaucoup plus sophistiquées. Disons que c'est la base pour cet objet. Vous avez à votre disposition des plumes ou des parchemins. Je vous laisse dix minutes pour enchanter l'objet de votre choix avec le charme de votre choix. Il faut évidemment que ça soit utile. Si vous décidez de brûler le parchemin ou la plume, ça ne sert à rien.
L’Helvète passa entre les établis pour donner des conseils durant le temps imparti. Une fois que tout le monde eut fini, elle revint au centre et reprit la parole.
- Selon la fonctionnalité de l'objet, le temps de création ainsi que l'énergie déployée, le nombre de points d'usure peut être plus ou moins grand. Dans votre cas, c'est un objet commun qui n'a en réalité pas de fonction particulière. Recommençons. Donnez votre objet à votre voisin de gauche et y ajoutez y un sort. Peu importe que ce soit le même que votre camarade, on s'en moque.
Jessica refit le même manège pour s'assurer que tout allait bien. Elle reprit deux élèves en train de se chamailler car le créateur de l'un n'était pas d'accord avec le sort de l'autre. Elle les menaça de leur retirer des points et cela les calma aussitôt. Du moins, en apparence, car dès qu'elle eut le dos tourné, ils recommencèrent sans paroles.
- Comme l’a dit votre camarade, l’artisan qui fabrique l’objet met de la magie, sa propre magie, son énergie dans l’objet qu’il crée au travers de sortilèges, de charmes, de façonnage de matériau avec des propriétés magiques.
La professeure d’Artisanat prit la plume à côté d’elle.
- Cette plume à papote par exemple, au départ elle n’était qu’une simple plume. Plume qui n’avait rien d’extraordinaire, sans distinction par rapport aux autres. La personne l’ayant conçu, a dû lancer a minima, un sort de traduction modifié, celui de l’encre éternelle et de lévitation. Trois sorts donc. Elle aura transposé trois fois sa magie au minimum. Il peut y avoir des plumes à papote beaucoup plus sophistiquées. Disons que c'est la base pour cet objet. Vous avez à votre disposition des plumes ou des parchemins. Je vous laisse dix minutes pour enchanter l'objet de votre choix avec le charme de votre choix. Il faut évidemment que ça soit utile. Si vous décidez de brûler le parchemin ou la plume, ça ne sert à rien.
L’Helvète passa entre les établis pour donner des conseils durant le temps imparti. Une fois que tout le monde eut fini, elle revint au centre et reprit la parole.
- Selon la fonctionnalité de l'objet, le temps de création ainsi que l'énergie déployée, le nombre de points d'usure peut être plus ou moins grand. Dans votre cas, c'est un objet commun qui n'a en réalité pas de fonction particulière. Recommençons. Donnez votre objet à votre voisin de gauche et y ajoutez y un sort. Peu importe que ce soit le même que votre camarade, on s'en moque.
Jessica refit le même manège pour s'assurer que tout allait bien. Elle reprit deux élèves en train de se chamailler car le créateur de l'un n'était pas d'accord avec le sort de l'autre. Elle les menaça de leur retirer des points et cela les calma aussitôt. Du moins, en apparence, car dès qu'elle eut le dos tourné, ils recommencèrent sans paroles.
Jessica Landi
Professeure d’Artisanat Magique
La professeure d’Artisanat magique leur intima de répéter l’opération une dernière fois. Ainsi des plumes se retrouvèrent d’un rose criard qui émettaient une mélodie entêtante (Jessica la fit vite taire), qui n’avaient pas changé d’apparence mais qui vous chatouillaient l’intérieur de la main, d’autres encore qui rebondissaient; des parchemins sentaient la violette, certains avaient des lignes dessinées (il devait y avoir des élèves d'origine non-magiques là-dessous) bref les élèves n’avaient pas manqué d’imagination.
- Bien, vous pouvez garder la plume ou le parchemin devant vous. Disons que vous venez d'acheter cet objet, vous ne connaissez absolument pas tout le processus qui a dû être fait pour que cet objet ait la fonctionnalité désirée. Comment pouvez-vous savoir le nombre de points d'usure qu'il lui reste?
- Bah là c'est facile, trois sorts, trois points d'usure!
Jessica regarda l'élève de Lug de quatrième année, blasée. Elle tourna la tête pour interroger quelqu'un d'autre mais il n'y avait pas de volontaires.
- Ce n'est pas si simple, le nombre de points d'usure ne correspond pas au nombre de sortilèges appliqués. Comme je vous le disais tout à l'heure, c'est plutôt la rareté de l'objet et sa fonctionnalité ainsi que le temps passé dessus qui déterminent le nombre de points d'usure. Mais ce n'était pas l'objet de ma question. Je la répète pour ceux qui n'ont pas écouté, (elle lança un regard à l'élève qui était intervenu quelques secondes auparavant) comment peut-on déterminer combien IL RESTE de points d'usure à l'objet? Pas combien il a de suite après sa fabrication.
Le silence qui suivit lui indiqua que les adolescents n’en avaient pas la moindre idée. Elle reprit sa plume à papote qui avait retranscrit sur un bout de parchemin ses dernières paroles. Elle examina la plume, lança le sort adéquat (Gerunt puncta avec un mouvement sec de haut en bas de la baguette pointée sur l’objet). La plume tourna deux fois sur elle-même , ce qui indiqua qu’il lui restait deux points d’usage.
- Vous avez tous bien compris? A vous.
Cinq minutes après, revint le silence.
- Une fois que l’on sait cela, on va s’imprégner de la magie de l’objet. Comme un retour en arrière. Nous allons puiser son énergie et l’utiliser pour lancer un sortilège. Démonstration.
Jessica formula Bene industria et très vite lança un Experlliarmus sur l’élève en face d’elle qui tenait son parchemin en main. Elle souffla après l’effort.
- C’est une action qui doit être rapide, vous ne pouvez pas rester très longtemps avec la magie qui n’est pas la vôtre catalysée dans votre baguette. Je vais vous expliquer pourquoi.
Elle s’excusa auprès de l’élève désarmée.
- Prenez des notes, nous nous entrainerons seulement s’il nous reste du temps.
- Bien, vous pouvez garder la plume ou le parchemin devant vous. Disons que vous venez d'acheter cet objet, vous ne connaissez absolument pas tout le processus qui a dû être fait pour que cet objet ait la fonctionnalité désirée. Comment pouvez-vous savoir le nombre de points d'usure qu'il lui reste?
- Bah là c'est facile, trois sorts, trois points d'usure!
Jessica regarda l'élève de Lug de quatrième année, blasée. Elle tourna la tête pour interroger quelqu'un d'autre mais il n'y avait pas de volontaires.
- Ce n'est pas si simple, le nombre de points d'usure ne correspond pas au nombre de sortilèges appliqués. Comme je vous le disais tout à l'heure, c'est plutôt la rareté de l'objet et sa fonctionnalité ainsi que le temps passé dessus qui déterminent le nombre de points d'usure. Mais ce n'était pas l'objet de ma question. Je la répète pour ceux qui n'ont pas écouté, (elle lança un regard à l'élève qui était intervenu quelques secondes auparavant) comment peut-on déterminer combien IL RESTE de points d'usure à l'objet? Pas combien il a de suite après sa fabrication.
Le silence qui suivit lui indiqua que les adolescents n’en avaient pas la moindre idée. Elle reprit sa plume à papote qui avait retranscrit sur un bout de parchemin ses dernières paroles. Elle examina la plume, lança le sort adéquat (Gerunt puncta avec un mouvement sec de haut en bas de la baguette pointée sur l’objet). La plume tourna deux fois sur elle-même , ce qui indiqua qu’il lui restait deux points d’usage.
- Vous avez tous bien compris? A vous.
Cinq minutes après, revint le silence.
- Une fois que l’on sait cela, on va s’imprégner de la magie de l’objet. Comme un retour en arrière. Nous allons puiser son énergie et l’utiliser pour lancer un sortilège. Démonstration.
Jessica formula Bene industria et très vite lança un Experlliarmus sur l’élève en face d’elle qui tenait son parchemin en main. Elle souffla après l’effort.
- C’est une action qui doit être rapide, vous ne pouvez pas rester très longtemps avec la magie qui n’est pas la vôtre catalysée dans votre baguette. Je vais vous expliquer pourquoi.
Elle s’excusa auprès de l’élève désarmée.
- Prenez des notes, nous nous entrainerons seulement s’il nous reste du temps.
Jessica Landi
Professeure d’Artisanat Magique
La dernière partie de l’atelier arriva plus vite qu’elle avait voulu mais les heures avaient déjà bien tourné. Et maintenant il fallait aborder le vif du sujet. Car les points d’usure ce n’était qu’une infime partie de l’art du dernier recours.
- Vous avez pu remarquer que cela m’a demandé une dextérité plus accrue, une vitesse décuplée et que cela m’a fatigué. Alors non je n’ai pas besoin de faire du sport pour améliorer ma condition physique.
Encore que…
- Utiliser la magie de quelqu’un d’autre, peu importe où elle se trouve, n’est pas un acte anodin. La magie est notre identité, elle fait partie de nous, nous ne pouvons rien y faire à cela. Mais elle nous est propre. Alors se servir de la magie d’un objet, même si c’est nous qui l’avons ensorcelé, cela n’y change rien, à notre avantage est un acte qui frôle avec la magie noire. Aussi votre âme peut être corrompue. Comprenez donc bien le sens de l’intitulé de cet art. Le “Dernier recours”. Vous êtes acculés, vous n’avez plus le choix (ou presque), vous êtes dans une situation où vous êtes poussé dans vos derniers retranchements, alors cet art vous sera utile. Il s’agit de votre ultime échappatoire pour fuir, se libérer ou se défendre. Après libre à vous de l’utiliser pour tout et n'importe quoi mais ce sera en votre âme et conscience justement.
S’il n’avait pas été lié à la magie d’un objet, cet art aurait pu être enseigné en Conjuration. Jessica voulait s’assurer qu’ils comprenaient ses mises en garde.
- Est-ce que vous comprenez ce qu’implique l’utilisation de cet art? C’est pour ça que tout à l’heure à peine ai-je extrait la magie de la plume (elle la montra à toute la classe, elle était redevenue une simple plume) que je m’en suis servie aussitôt pour lancer un sortilège. La garder pendant de longues secondes est fatigant, voire dangereux. Si vous utilisez cet art, c’est que vous êtes au pied du mur donc que vous êtes affaibli. Vous ne pourrez pas enchaîner un duel juste après. Sauf si vous êtes un mage noir, mais personne ici ne l’est, n’est-ce-pas?
Jessica plissa les yeux en observant les élèves. Elle voulait détendre l’atmosphère. L’évocation du sujet rendait tout le monde mal à l’aise.
- Vous pouvez garder l’objet devant vous si cela vous chante ou si quelqu'un souhaite le récupérer. Je ne suis pas certaine de faire quelque chose de ce parchemin qui se froisse dès qu’on écrit dessus, voyez-vous. Bonne journée à tous.
La Suisse resta quelques minutes supplémentaires afin d’apaiser certaines angoisses, de répondre aux interrogations que pouvait susciter cet art. Puis elle rentra chez elle auprès de son fils et de son mari pour le reste de la journée et se changer les idées. Les plus observateurs auront remarqué que sur la fin du cours, son nez et sa bouche avaient rétréci. Comme si elle voulait se faire toute petite.
- Vous avez pu remarquer que cela m’a demandé une dextérité plus accrue, une vitesse décuplée et que cela m’a fatigué. Alors non je n’ai pas besoin de faire du sport pour améliorer ma condition physique.
Encore que…
- Utiliser la magie de quelqu’un d’autre, peu importe où elle se trouve, n’est pas un acte anodin. La magie est notre identité, elle fait partie de nous, nous ne pouvons rien y faire à cela. Mais elle nous est propre. Alors se servir de la magie d’un objet, même si c’est nous qui l’avons ensorcelé, cela n’y change rien, à notre avantage est un acte qui frôle avec la magie noire. Aussi votre âme peut être corrompue. Comprenez donc bien le sens de l’intitulé de cet art. Le “Dernier recours”. Vous êtes acculés, vous n’avez plus le choix (ou presque), vous êtes dans une situation où vous êtes poussé dans vos derniers retranchements, alors cet art vous sera utile. Il s’agit de votre ultime échappatoire pour fuir, se libérer ou se défendre. Après libre à vous de l’utiliser pour tout et n'importe quoi mais ce sera en votre âme et conscience justement.
S’il n’avait pas été lié à la magie d’un objet, cet art aurait pu être enseigné en Conjuration. Jessica voulait s’assurer qu’ils comprenaient ses mises en garde.
- Est-ce que vous comprenez ce qu’implique l’utilisation de cet art? C’est pour ça que tout à l’heure à peine ai-je extrait la magie de la plume (elle la montra à toute la classe, elle était redevenue une simple plume) que je m’en suis servie aussitôt pour lancer un sortilège. La garder pendant de longues secondes est fatigant, voire dangereux. Si vous utilisez cet art, c’est que vous êtes au pied du mur donc que vous êtes affaibli. Vous ne pourrez pas enchaîner un duel juste après. Sauf si vous êtes un mage noir, mais personne ici ne l’est, n’est-ce-pas?
Jessica plissa les yeux en observant les élèves. Elle voulait détendre l’atmosphère. L’évocation du sujet rendait tout le monde mal à l’aise.
- Vous pouvez garder l’objet devant vous si cela vous chante ou si quelqu'un souhaite le récupérer. Je ne suis pas certaine de faire quelque chose de ce parchemin qui se froisse dès qu’on écrit dessus, voyez-vous. Bonne journée à tous.
La Suisse resta quelques minutes supplémentaires afin d’apaiser certaines angoisses, de répondre aux interrogations que pouvait susciter cet art. Puis elle rentra chez elle auprès de son fils et de son mari pour le reste de la journée et se changer les idées. Les plus observateurs auront remarqué que sur la fin du cours, son nez et sa bouche avaient rétréci. Comme si elle voulait se faire toute petite.
FIN
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