Aliaume Delalande
Directeur & Professeur d’Alchimie
Féerie Arcanus
Le chapiteau Arcanus, comme son nom l’indique, est la propriété du clan Arcanus dont sont issus les rois et reines des gitans des terres. L’actuelle reine, Carmen, dont le spectre noir — une Vouivre — force l’admiration de tous, veille sur les treize clans que comptent le village itinérant. Spectacle mondialement connu de la famille Arcanus, la Féerie Arcanus rassemble des sorciers aux talents singuliers et des créatures exotiques venues des quatre coins du monde. Tous les sorciers ont en souvenir la première fois qu’ils ont assisté à une Féerie Arcanus. Le spectacle est renouvelé tous les ans.
De magnifiques sièges en velours rouge descendent en gradins vers un large cercle délimité par une clôture en or. De hautes poutres sculptées, elles aussi en or, maintiennent l’édifice en place. Les jeux de lumière au plafond sont d’une remarquable beauté : d’immenses bulles lévitent entre des rubans de couleurs animés comme des serpents, chacune d’elle contenant un feu d’artifice perpétuelle dont le son a été réduit au silence. De magnifiques gitanes en robe rouge et or distribuent le programme que voici :
Les jumelles du feu : les soeurs Zhang, les élémentaristes chinoises, se frottent à leurs formidables élémentaires de feu. La danse des Nagas : Hashim, le charmeur de serpents-géants malaisien, danse au milieu des nagas. La cage aux Yokais : Sugiyama, l’équilibriste japonais, tente de s’extraire d’une cage aux mauvais esprits. Soyeux comme un Occamy : Gansükh, la dresseuse mongole, invite l’ensemble du public à se laisser envelopper par son occamy. Parole aux morts : Sharma et Kapoor, les legilimens indiens, invitent le public à communiquer avec leurs proches disparus.
De magnifiques sièges en velours rouge descendent en gradins vers un large cercle délimité par une clôture en or. De hautes poutres sculptées, elles aussi en or, maintiennent l’édifice en place. Les jeux de lumière au plafond sont d’une remarquable beauté : d’immenses bulles lévitent entre des rubans de couleurs animés comme des serpents, chacune d’elle contenant un feu d’artifice perpétuelle dont le son a été réduit au silence. De magnifiques gitanes en robe rouge et or distribuent le programme que voici :
Les jumelles du feu : les soeurs Zhang, les élémentaristes chinoises, se frottent à leurs formidables élémentaires de feu. La danse des Nagas : Hashim, le charmeur de serpents-géants malaisien, danse au milieu des nagas. La cage aux Yokais : Sugiyama, l’équilibriste japonais, tente de s’extraire d’une cage aux mauvais esprits. Soyeux comme un Occamy : Gansükh, la dresseuse mongole, invite l’ensemble du public à se laisser envelopper par son occamy. Parole aux morts : Sharma et Kapoor, les legilimens indiens, invitent le public à communiquer avec leurs proches disparus.
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