Aliaume Delalande
Directeur & Professeur d’Alchimie
Gare d’Austerlitz
Austerlitz ! Là où démarre le rêve éveillé des petits sorciers en herbe qui s’apprêtent à rejoindre notre belle et grande académie ! Suivez-moi, l’entrée se fait discrètement par ici, sous la statue qui représente l’Agriculture. Pardon ? Vous n’avez encore jamais traversé un mur ? Et bien c’est facile, vous avez juste à vous appuyez dessus pour vous retrouver de l’autre côté. Allez en route, les non-mag’ n’y voient que du feu !
Nous voilà dans le hall des quatorze ! Comme vous pouvez le constater, c’est un hall plutôt bruyant, mais ne vous en faites pas, restez près de moi. Je vais tout vous expliquer. Pourquoi quatorze ? Parce que le hall offre un accès direct aux quatorze hangars qui desservent les quatorze destinations usuelles de la Compagnie des carrosses-ailés : les cinq villages magiques que sont Bois-des-Fées, Bras-de-Mer, Osse-en-Bazar, Saucillon et Trois-Corneilles ainsi que les neuf villages semi-magiques que comptent notre beau pays. Il existe un quinzième hangar, celui que tout sorcier français se doit de rejoindre quand sonne le jour de la rentrée : mais son accès ne s’ouvre que lorsque c’est nécessaire, là, à la base de la grande horloge dressée au centre du hall. Est-ce que vous savez que si vous êtes perdu, il vous suffit de lever les yeux vers l’horloge pour que sa grande aiguille vous indique la direction de votre hangar ? Et bien voilà, maintenant vous savez.
Venez, passons, au hasard, sous le porche qui conduit à Monpazier tiens ! La plaque en bronze qui lévite au-dessus du porche vous l’indique. Hangar nous voilà ! Oui, cette sensation d’immensité est toujours déroutante la première fois, mais les abraxans sont des créatures qui ont besoin d’espace. Vous pouvez apercevoir leurs box alignées le long de ce mur, l’autre sert à stationner les carrosses. Aujourd’hui est un jour normal, vous avez la chance de pouvoir en observer, mais n’imaginez pas voyager les jours de rentrée à Beauxbâtons ou de début et fin de vacances scolaires… tous les carrosses sont réquisitionnés pour acheminer les élèves de l’académie.
Si vous vous demandez par où ces colosses-ailés disparaissent, sachez que le toit en verre s’ouvre à chaque décollage et atterrissage. Les agents — adorables par ailleurs — rendent les attelages parfaitement invisibles aux yeux des non-mag’ en leur apposant un puissant charme de Dissimulation. Vous ne pouvez pas les manquer, ils portent un costume blanc et bleu pour que vous puissiez les distinguer dans la foule. A vrai dire, je doute que vous ayez le temps de les chercher. Leur service est si irréprochable qu’en général un agent surgit devant vous pour vous aider avant même que vous n’ayez le temps de penser à les chercher. Ils s’occuperont de vos bagages, de vous vendre un billet si vous n’en avez pas, bref : vous pouvez compter sur eux.
Rien à voir avec le service proposé aux non-mag’ de l’autre côté de ces murs à ce que j’en sais.
Nous voilà dans le hall des quatorze ! Comme vous pouvez le constater, c’est un hall plutôt bruyant, mais ne vous en faites pas, restez près de moi. Je vais tout vous expliquer. Pourquoi quatorze ? Parce que le hall offre un accès direct aux quatorze hangars qui desservent les quatorze destinations usuelles de la Compagnie des carrosses-ailés : les cinq villages magiques que sont Bois-des-Fées, Bras-de-Mer, Osse-en-Bazar, Saucillon et Trois-Corneilles ainsi que les neuf villages semi-magiques que comptent notre beau pays. Il existe un quinzième hangar, celui que tout sorcier français se doit de rejoindre quand sonne le jour de la rentrée : mais son accès ne s’ouvre que lorsque c’est nécessaire, là, à la base de la grande horloge dressée au centre du hall. Est-ce que vous savez que si vous êtes perdu, il vous suffit de lever les yeux vers l’horloge pour que sa grande aiguille vous indique la direction de votre hangar ? Et bien voilà, maintenant vous savez.
Venez, passons, au hasard, sous le porche qui conduit à Monpazier tiens ! La plaque en bronze qui lévite au-dessus du porche vous l’indique. Hangar nous voilà ! Oui, cette sensation d’immensité est toujours déroutante la première fois, mais les abraxans sont des créatures qui ont besoin d’espace. Vous pouvez apercevoir leurs box alignées le long de ce mur, l’autre sert à stationner les carrosses. Aujourd’hui est un jour normal, vous avez la chance de pouvoir en observer, mais n’imaginez pas voyager les jours de rentrée à Beauxbâtons ou de début et fin de vacances scolaires… tous les carrosses sont réquisitionnés pour acheminer les élèves de l’académie.
Si vous vous demandez par où ces colosses-ailés disparaissent, sachez que le toit en verre s’ouvre à chaque décollage et atterrissage. Les agents — adorables par ailleurs — rendent les attelages parfaitement invisibles aux yeux des non-mag’ en leur apposant un puissant charme de Dissimulation. Vous ne pouvez pas les manquer, ils portent un costume blanc et bleu pour que vous puissiez les distinguer dans la foule. A vrai dire, je doute que vous ayez le temps de les chercher. Leur service est si irréprochable qu’en général un agent surgit devant vous pour vous aider avant même que vous n’ayez le temps de penser à les chercher. Ils s’occuperont de vos bagages, de vous vendre un billet si vous n’en avez pas, bref : vous pouvez compter sur eux.
Rien à voir avec le service proposé aux non-mag’ de l’autre côté de ces murs à ce que j’en sais.
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