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Le Narrateur
Ami des Lettres
Atelier n°02 d’Étude du Secret Magique
1. Présentation
- Vous vous apprêtez à suivre un atelier d'Étude du Secret Magique donné par le professeur Kieffer au cours du mois de mai. Cet atelier porte sur l’acquis d’extension 2 (qu’on note #GE2) : L'art du titre d'identité.
2. Acquis d’extension n°2
- #GE2 [SP] L'art du titre d'identité - Acquis d’extension: L’art du Titre d’Identité permet au sorcier de se munir d’un titre d’identité valable dans le monde non-magique et de munir les autres participants de l’épopée si le coût est payé pour chacun d’entre eux. (Coût : 1 point d'épuisement)
3. Obtention élève
- Pour obtenir cet acquis d’extension, vous devez impérativement étudier l’Étude du Secret Magique et ouvrir un nouveau sujet RP dans la salle de classe d'Étude du Secret Magique. Un nouveau sujet RP dans lequel vous mettez en scène votre personnage durant l’atelier donné par le professeur Kieffer. Cet atelier comptant 5 publications de 250 mots minimum, vous devez publier un sujet avec 4 publications de 250 mots minimum (chaque publication doit correspondre aux événements décrits dans la publication miroir du professeur Kieffer) pas plus, pas moins. Une publication RP rapportant 20 points à votre Confrérie, participer à cet atelier en suivant les instructions ci-dessous rapportera 80 points à votre Confrérie. Pour rappel, vous ne pouvez posséder que 2 acquis d’extension en Étude du Secret Magique. Si vous possédez dores et déjà 2 acquis d’extension, suivre cet atelier remplacera l’un de vos 2 acquis d’extension par celui-ci (vous préciserez lequel au professeur Delalande par courrier) et vous empêchera à tout jamais de récupérer l’acquis d’extension supprimé. Soyez donc sûr de votre choix.
4. Obtention adulte
- Pour obtenir cet acquis d’extension, vous devez impérativement avoir étudié l’Étude du Secret Magique au cours de votre scolarité et ouvrir un nouveau sujet RP dans la salle de classe d’Étude du Secret Magique. Un nouveau sujet RP dans lequel vous mettez en scène votre personnage, alors adolescent, durant l’atelier donné par le professeur en charge de l’Étude du Secret Magique à son époque (voir la liste des anciens professeurs). Cet atelier comptant 5 publications de 250 mots minimum, vous devez publier un sujet avec 4 publications de 250 mots minimum (chaque publication doit correspondre, en les adaptant à votre convenance, aux événements décrits dans la publication miroir du professeur Kieffer) pas plus, pas moins. Pour rappel, vous ne pouvez posséder que 2 acquis d’extension en Étude du Secret Magique. Si vous possédez dores et déjà 2 acquis d’extension, suivre cet atelier remplacera l’un de vos 2 acquis d’extension par celui-ci (vous préciserez lequel au professeur Delalande par courrier) et vous empêchera à tout jamais de récupérer l’acquis d’extension supprimé. Soyez donc sûr de votre choix.
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Cet après-midi là marquait la tenue d'un nouvel atelier à destination de l'ensemble des élèves de l'académie qui suivaient les enseignement d'Etude du Secret Magique que ce soit depuis quelques mois ou bien quelques années. Et pour cette séance, Aniel avait prévu de se concentrer sur un aspect que certains semblaient négliger - quelque soit leurs nationalités et le caractère magique de leurs familles - savoir se fondre dans le monde non magique de manière à ne pas éveiller les soupçons.
- "Maintenant que tout le monde est installé..." Commença la vieille professeur en fixant un groupe de quatre élèves qui venaient de prendre un temps incommensurable pour s'asseoir - qui plus était en faisant un bruit digne d'un troupeau de feu d'artifesse soumis à des émotions trop intenses. L'insistance à les regarder terminer eut au moins le mérite de faire taire leurs derniers murmures ainsi que ceux de tous les autres étudiants présents qui auraient encore eu l'audace de parler. Étrangement, arrivé au mois de mai, plus personne ne semblait enclin à voir quelques points s'envoler dans la course au bouclier de Lancelot.
- "...Nous allons pouvoir passer au vif du sujet." Termina-t-elle sa phrase en balayant la salle des yeux.
- "Aujourd'hui, j'aimerais vous enseigner un moyen de vous fondre dans la masse du monde non-magique." Un bruit attira son attention sur sa droite et elle interrogea les deux concernés en tournant progressivement la tête vers yeux. Des jumeaux très ressemblant que la Devineresse avait fait intégrer deux confréries différentes; Lug et Dagda.
- "Messieurs Durand, quelque chose de constructif pour ce cours?" Les deux adolescents s'étaient regardés, bien conscients que leurs marmonnements à propos de quelque chose 'd'inutile" avaient été repéré et considérés comme non avenus.
- "Non madame." Avaient-ils dit en chœur, laissant l'adulte reprendre:
- "Vos confréries se passeront bien de cinq points chacune. Mais poursuivons. Certains ou certaines d'entre vous en conviendrons, les papiers d'identités sont indispensables pour prouver qui l'on est. Je vous demande donc pourquoi selon vous il serait nécessaire de pouvoir se munir de papiers non-magiques?" Le silence se fit, Aniel attendait que quelqu'un prenne la parole.
- "Maintenant que tout le monde est installé..." Commença la vieille professeur en fixant un groupe de quatre élèves qui venaient de prendre un temps incommensurable pour s'asseoir - qui plus était en faisant un bruit digne d'un troupeau de feu d'artifesse soumis à des émotions trop intenses. L'insistance à les regarder terminer eut au moins le mérite de faire taire leurs derniers murmures ainsi que ceux de tous les autres étudiants présents qui auraient encore eu l'audace de parler. Étrangement, arrivé au mois de mai, plus personne ne semblait enclin à voir quelques points s'envoler dans la course au bouclier de Lancelot.
- "...Nous allons pouvoir passer au vif du sujet." Termina-t-elle sa phrase en balayant la salle des yeux.
- "Aujourd'hui, j'aimerais vous enseigner un moyen de vous fondre dans la masse du monde non-magique." Un bruit attira son attention sur sa droite et elle interrogea les deux concernés en tournant progressivement la tête vers yeux. Des jumeaux très ressemblant que la Devineresse avait fait intégrer deux confréries différentes; Lug et Dagda.
- "Messieurs Durand, quelque chose de constructif pour ce cours?" Les deux adolescents s'étaient regardés, bien conscients que leurs marmonnements à propos de quelque chose 'd'inutile" avaient été repéré et considérés comme non avenus.
- "Non madame." Avaient-ils dit en chœur, laissant l'adulte reprendre:
- "Vos confréries se passeront bien de cinq points chacune. Mais poursuivons. Certains ou certaines d'entre vous en conviendrons, les papiers d'identités sont indispensables pour prouver qui l'on est. Je vous demande donc pourquoi selon vous il serait nécessaire de pouvoir se munir de papiers non-magiques?" Le silence se fit, Aniel attendait que quelqu'un prenne la parole.
Le Narrateur
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Et le silence ne dura pas bien longtemps puisqu'une première main se leva, celle de Lorie Fleury qui donna une réponse satisfaisante. Réponse qui fut admirablement complétée par une jeune métisse issue de la même Confrérie. Elle lui attribua même quelques points pour le bouclier de Lancelot du fait de la pertinence de parler de masquer sa magie. Une sourire se dessina sur les lèvres de l'ancienne élève d'Ogme. Si quelques uns semblaient encore avoir du mal à saisir l'importance des enseignements qui leurs étaient délivrés, d'autres en revanche, avaient de la ressource.
- "C'est exact mesdemoiselles. L'idée commune est de pouvoir justifier de qui vous êtes auprès des non magiques. Que ce soit parce que leurs forces de l'ordre procèdent à des contrôles d'identité, pour justifier de votre âge... On pourrait encore trouver des dizaines de raisons!" Confirma l'adulte avant de reprendre le fil de son cours qui se trouvait être composé de plusieurs séries de questions destinées à faire réfléchir les étudiants de nationalités variées assis en face d'elle.
- "Les non-magiques, pour faire ces papiers d'identités se rendent - en France - dans les mairies de leur lieux d'habitations. Pour ceux qui l'ignoreraient elles se font le relais de l'état pour délivrer certains documents. Dont ceux qui nous intéresse tout particulièrement. Aussi je vous demande, à votre avis, à qui il vous faudrait vous, en tant que sorciers, vous adresser pour obtenir des titres d'identités valables dans le monde non-magique?" La question flotta dans l'air un moment, jusqu'à ce qu'une élève de Lug ne demande à prendre la parole, droit de parler qui lui fut accorder d'un signe de tête.
- "Dans les bureaux de nos gouvernements?" Un hochement de tête accueilli la réponse pour signifier sa justesse. Aniel marqua ensuite un temps de pause pour laisser quelques secondes à ceux qui avaient fait le choix de prendre des notes d'écrire les derniers éléments. Ces quelques secondes lui permirent d'entendre une remarque entre deux élèves sur le menu du soir qui affichaient de la blanquette de veaudelune... Un regard noir fut servi à l'anglais et l'italien responsable de ce bavardage qui n'avait rien à voir avec le cours.
- "Savez-vous quels sont les différents titres d'identité que vous pouvez demander et où ils seront valables?"
- "C'est exact mesdemoiselles. L'idée commune est de pouvoir justifier de qui vous êtes auprès des non magiques. Que ce soit parce que leurs forces de l'ordre procèdent à des contrôles d'identité, pour justifier de votre âge... On pourrait encore trouver des dizaines de raisons!" Confirma l'adulte avant de reprendre le fil de son cours qui se trouvait être composé de plusieurs séries de questions destinées à faire réfléchir les étudiants de nationalités variées assis en face d'elle.
- "Les non-magiques, pour faire ces papiers d'identités se rendent - en France - dans les mairies de leur lieux d'habitations. Pour ceux qui l'ignoreraient elles se font le relais de l'état pour délivrer certains documents. Dont ceux qui nous intéresse tout particulièrement. Aussi je vous demande, à votre avis, à qui il vous faudrait vous, en tant que sorciers, vous adresser pour obtenir des titres d'identités valables dans le monde non-magique?" La question flotta dans l'air un moment, jusqu'à ce qu'une élève de Lug ne demande à prendre la parole, droit de parler qui lui fut accorder d'un signe de tête.
- "Dans les bureaux de nos gouvernements?" Un hochement de tête accueilli la réponse pour signifier sa justesse. Aniel marqua ensuite un temps de pause pour laisser quelques secondes à ceux qui avaient fait le choix de prendre des notes d'écrire les derniers éléments. Ces quelques secondes lui permirent d'entendre une remarque entre deux élèves sur le menu du soir qui affichaient de la blanquette de veaudelune... Un regard noir fut servi à l'anglais et l'italien responsable de ce bavardage qui n'avait rien à voir avec le cours.
- "Savez-vous quels sont les différents titres d'identité que vous pouvez demander et où ils seront valables?"
Le défi des cinquante-deux - Semaine 21
Le Narrateur
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Un élève leva la main et Aniel l'interrogea, le laissant s'exprimer avec un accent qui annihilait tous les R.
- "Il y a la carte d'identité pour notre pays. Et le passeport pour le monde." La professeur acquiesça même si elle avait quelques petites choses à ajouter à ces éléments.
- "Effectivement, ce sont les deux titres d'identités communs à tous les pays. La carte d'identité n'est généralement valable que dans le pays qui l'a émise. Au sein de l'Union Européenne, ce document peut suffire mais de manière générale, souvenez vous qu'en dehors de votre pays il est préférable d'avoir un passeport. C'est le seul document que tous les pays accepteront comme preuve de votre identité. C'est d'ailleurs celui que les non-magiques utilisent pour prendre l'avion comme le spécifiait une de vos camarades tout à l'heure." En parlant, Aniel avait fait une distribution magique de divers cartes d'identité et passeport des pays d'ont rassortissaient les étudiants de l'académie. Des documents factices plus vrais que nature portant l'identité de personnes inexistantes.
Puis, chose assez rare pour être notée, la marnaise incita les élèves à discuter des documents qu'ils avaient sous les yeux, mais aussi à les échanger entre eux de manière à relever ensemble les mentions qu'ils avaient tous en commun. Ce genre d'atelier était plus détendu que les cours habituels, tant qu'il n'y avait pas d'exagération, la nonagénaire se plaisait à s'y essayer. Et jusque là, rares avaient été les étudiants à abuser de la méthode.
Une fois une dizaine de minutes écoulées, elle rappela l'attention de tous vers elle en frappant brièvement ses mains l'une contre l'autre:
- "Bien, maintenant j'aimerais, qu'ensemble, vous me donniez tous les points communs qu'avaient ces documents. Car vous en aurez besoin si vous devez faire la demande de papiers non-magiques un jour." Les mains se levèrent et les réponses, toutes pertinentes, furent données une à une, se notant sur le tableau à mesure qu'elles étaient énoncées.
- "Il y a la carte d'identité pour notre pays. Et le passeport pour le monde." La professeur acquiesça même si elle avait quelques petites choses à ajouter à ces éléments.
- "Effectivement, ce sont les deux titres d'identités communs à tous les pays. La carte d'identité n'est généralement valable que dans le pays qui l'a émise. Au sein de l'Union Européenne, ce document peut suffire mais de manière générale, souvenez vous qu'en dehors de votre pays il est préférable d'avoir un passeport. C'est le seul document que tous les pays accepteront comme preuve de votre identité. C'est d'ailleurs celui que les non-magiques utilisent pour prendre l'avion comme le spécifiait une de vos camarades tout à l'heure." En parlant, Aniel avait fait une distribution magique de divers cartes d'identité et passeport des pays d'ont rassortissaient les étudiants de l'académie. Des documents factices plus vrais que nature portant l'identité de personnes inexistantes.
Puis, chose assez rare pour être notée, la marnaise incita les élèves à discuter des documents qu'ils avaient sous les yeux, mais aussi à les échanger entre eux de manière à relever ensemble les mentions qu'ils avaient tous en commun. Ce genre d'atelier était plus détendu que les cours habituels, tant qu'il n'y avait pas d'exagération, la nonagénaire se plaisait à s'y essayer. Et jusque là, rares avaient été les étudiants à abuser de la méthode.
Une fois une dizaine de minutes écoulées, elle rappela l'attention de tous vers elle en frappant brièvement ses mains l'une contre l'autre:
- "Bien, maintenant j'aimerais, qu'ensemble, vous me donniez tous les points communs qu'avaient ces documents. Car vous en aurez besoin si vous devez faire la demande de papiers non-magiques un jour." Les mains se levèrent et les réponses, toutes pertinentes, furent données une à une, se notant sur le tableau à mesure qu'elles étaient énoncées.
Le Narrateur
Ami des Lettres
Lorsqu'un tel exercice demandant de la communication en petits groupes ou, comme ce jour là, au sein de tous les participants à l'atelier, Aniel demandait toujours à ce qu'un ou des élèves soient chef d'orchestre de la cacophonie à venir. Elle l'apprenait à ses étudiants dès la première année, le répétait ou l'apprenait aux deuxièmes années... Et les plus vieux finissaient par le faire spontanément. Ce qui fut ici le cas, trois élèves se proposèrent pour aider la parole à se répartir entre tous et surtout prendre des notes sur ce qui ressortait. La marnaise ne se faisait plus que surveillante de ce qui se déroulait dans la pièce, nécessaire quand on avait des enfants, des adolescents et des jeunes adultes tous réunit. Il y en avait toujours un pour faire le carcolh et empêcher les autres de travailler... Sauf ce jour là. A croire que les réprimandes du début de la séance aient porté leurs fruits.
A l'issue du temps de réflexion, Aniel frappa une fois dans ses mains et une luxembourgeoise vint présenter leur synthèse:
- "Nous avons établis que les points communs étaient les mentions des noms et prénoms, de la date de naissance, du sexe, de l'adresse et une signature." La sparnacienne confirma le tout, laissa l'adolescente de seize ans regagner sa place et expliqua alors.
- "Il faudra donc vous présenter au ministère avec vos papiers d'identité sorciers, avec un de vos parents et ses papiers tant que vous êtes mineurs, et un justificatif de votre adresse. Pour ceux qui habitent dans des quartiers ou villes magiques, le ministère fournit des adresses non magiques dans les grandes villes. Vous devrez aussi faire une empreinte de vos doigts - un moyen que les non-magiques considèrent fiable pour différencier les personnes, car les reliefs au bout de vos doigts sont uniques, de la même manière qu'il n'y a pas deux fois la même baguette - et signer un papier. Il est ensuite produit par les services compétents un passeport non-magique plus vrai que nature pour les autorités non magiques, mais que les employés des ministères de notre communauté sauront reconnaître si jamais vous devez le leur présenter." Ce fut sur ces mots qu'elle mit fin à cet atelier et libéra les élèves, il n'y avait pas grand chose de plus à dire sur la question. Ce qui n'était pas plus mal vu la période, entre les beaux jours, les examens et les vacances, les esprits se dissipaient vite.
A l'issue du temps de réflexion, Aniel frappa une fois dans ses mains et une luxembourgeoise vint présenter leur synthèse:
- "Nous avons établis que les points communs étaient les mentions des noms et prénoms, de la date de naissance, du sexe, de l'adresse et une signature." La sparnacienne confirma le tout, laissa l'adolescente de seize ans regagner sa place et expliqua alors.
- "Il faudra donc vous présenter au ministère avec vos papiers d'identité sorciers, avec un de vos parents et ses papiers tant que vous êtes mineurs, et un justificatif de votre adresse. Pour ceux qui habitent dans des quartiers ou villes magiques, le ministère fournit des adresses non magiques dans les grandes villes. Vous devrez aussi faire une empreinte de vos doigts - un moyen que les non-magiques considèrent fiable pour différencier les personnes, car les reliefs au bout de vos doigts sont uniques, de la même manière qu'il n'y a pas deux fois la même baguette - et signer un papier. Il est ensuite produit par les services compétents un passeport non-magique plus vrai que nature pour les autorités non magiques, mais que les employés des ministères de notre communauté sauront reconnaître si jamais vous devez le leur présenter." Ce fut sur ces mots qu'elle mit fin à cet atelier et libéra les élèves, il n'y avait pas grand chose de plus à dire sur la question. Ce qui n'était pas plus mal vu la période, entre les beaux jours, les examens et les vacances, les esprits se dissipaient vite.
Le défi des cinquante-deux - Semaine 23
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