Le Narrateur
Ami des Lettres
Atelier n°01 d’Étude du Secret Magique
1. Présentation
- Vous vous apprêtez à suivre un atelier d'Étude du Secret Magique donné par le professeur Kieffer au cours du mois de janvier. Cet atelier porte sur l’acquis d’extension 1 (qu’on note #GE1) : Odigá - Sortilège du Guide.
2. Acquis d’extension n°1
- #GE1 [SP] Odigá - Sortilège du Guide - Acquis d’extension: Le sortilège Odigá permet de guider le sorcier qui le lance jusqu'au sorcier conscient le plus proche (Coût : 2 points d'épuisement)
3. Obtention élève
- Pour obtenir cet acquis d’extension, vous devez impérativement étudier l’Étude du Secret Magique et ouvrir un nouveau sujet RP dans la salle de classe d'Étude du Secret Magique. Un nouveau sujet RP dans lequel vous mettez en scène votre personnage durant l’atelier donné par le professeur Kieffer. Cet atelier comptant 5 publications de 250 mots minimum, vous devez publier un sujet avec 5 publications de 250 mots minimum (chaque publication doit correspondre aux événements décrits dans la publication miroir du professeur Kieffer) pas plus, pas moins. Une publication RP rapportant 20 points à votre Confrérie, participer à cet atelier en suivant les instructions ci-dessous rapportera 100 points à votre Confrérie. Pour rappel, vous ne pouvez posséder que 2 acquis d’extension en Étude du Secret Magique. Si vous possédez dores et déjà 2 acquis d’extension, suivre cet atelier remplacera l’un de vos 2 acquis d’extension par celui-ci (vous préciserez lequel au professeur Delalande par courrier) et vous empêchera à tout jamais de récupérer l’acquis d’extension supprimé. Soyez donc sûr de votre choix.
4. Obtention adulte
- Pour obtenir cet acquis d’extension, vous devez impérativement avoir étudié l’Étude du Secret Magique au cours de votre scolarité et ouvrir un nouveau sujet RP dans la salle de classe d’Étude du Secret Magique. Un nouveau sujet RP dans lequel vous mettez en scène votre personnage, alors adolescent, durant l’atelier donné par le professeur en charge de l’Étude du Secret Magique à son époque (voir la liste des anciens professeurs). Cet atelier comptant 5 publications de 250 mots minimum, vous devez publier un sujet avec 5 publications de 250 mots minimum (chaque publication doit correspondre, en les adaptant à votre convenance, aux événements décrits dans la publication miroir du professeur Kieffer) pas plus, pas moins. Pour rappel, vous ne pouvez posséder que 2 acquis d’extension en Étude du Secret Magique. Si vous possédez dores et déjà 2 acquis d’extension, suivre cet atelier remplacera l’un de vos 2 acquis d’extension par celui-ci (vous préciserez lequel au professeur Delalande par courrier) et vous empêchera à tout jamais de récupérer l’acquis d’extension supprimé. Soyez donc sûr de votre choix.
Le Narrateur
Ami des Lettres
Aniel était reconnu comme étant quelqu'un d'expert dans son domaine. Tant dans son ancien métier que dans l'actuel, il était rare qu'elle soit mise en défaut pour tout ce qui touchait au Secret Magique, à son maintien et aux rattrapages des différents accidents ou actes volontaires mettant à mal la sécurité des sorciers. Et pour maintenir ce niveau de connaissance, elle n'hésitait pas à s'informer sur ce qui se faisait ailleurs, en Europe notamment. Ce matin là, elle avait décortiqué un manuel britannique sur l'enseignement prodigué à ce sujet. Chez les britanniques, il s'agissait d'en apprendre pour en apprendre. C'était du moins l'interprétation de la sparnacienne qui elle apprenait surtout des éléments de vie des non-mag' pour que ses élèves apprennent à s'en débrouiller et passer inaperçu en toute discrétion.
Elle avait donc en tête ces quelques échanges au moment d'accueillir ses élèves mais aussi des étudiants venus pour la compétition. Cela grossissait les rangs mais ce n'était pas désagréable, ils apportaient d'autres points de vue particulièrement enrichissant.
- "Bienvenue à tous en Étude du Secret Magique. Aujourd'hui, nous allons étudier un sortilège qui peut s'avérer utile lorsque vous êtes perdus dans le monde non-magique et avez désespérément besoin d'aide." Une main se leva parmi les académiciens et la vieille professeure donna la parole.
- "Mais il existe les charmes d'alarme et d'alerte?!"
- "En effet, mais vous vous doutez bien que je ne vais pas réaborder ces sujets avec vous, non?" Elle adressa un regard qui voulait tout dire au jeune homme, ce qui attira quelques sourires sur différents visage. Il fit un signe négatif de la tête et la professeur continua.
- "Bien. Puisqu'il ne s'agit d'aucun de ces deux sorts, qui je le rappelle permettent de contacter le Ministère ou votre responsable légal, qui pourriez-vous chercher à contacter pour vous tirer d'un mauvais pas?" La marnaise interrogea celui qui avait osé poser la question que beaucoup devaient avoir sur les lèvres mais ce fut une étudiante italienne à l'accent chantant qui répondit.
- "Un autre sorcier?" Aniel acquiesça, les voilà partit sur de bonnes bases.
Elle avait donc en tête ces quelques échanges au moment d'accueillir ses élèves mais aussi des étudiants venus pour la compétition. Cela grossissait les rangs mais ce n'était pas désagréable, ils apportaient d'autres points de vue particulièrement enrichissant.
- "Bienvenue à tous en Étude du Secret Magique. Aujourd'hui, nous allons étudier un sortilège qui peut s'avérer utile lorsque vous êtes perdus dans le monde non-magique et avez désespérément besoin d'aide." Une main se leva parmi les académiciens et la vieille professeure donna la parole.
- "Mais il existe les charmes d'alarme et d'alerte?!"
- "En effet, mais vous vous doutez bien que je ne vais pas réaborder ces sujets avec vous, non?" Elle adressa un regard qui voulait tout dire au jeune homme, ce qui attira quelques sourires sur différents visage. Il fit un signe négatif de la tête et la professeur continua.
- "Bien. Puisqu'il ne s'agit d'aucun de ces deux sorts, qui je le rappelle permettent de contacter le Ministère ou votre responsable légal, qui pourriez-vous chercher à contacter pour vous tirer d'un mauvais pas?" La marnaise interrogea celui qui avait osé poser la question que beaucoup devaient avoir sur les lèvres mais ce fut une étudiante italienne à l'accent chantant qui répondit.
- "Un autre sorcier?" Aniel acquiesça, les voilà partit sur de bonnes bases.
Le Narrateur
Ami des Lettres
- "Tout à fait mademoiselle. Un autre sorcier. Le sort du guide, une fois actif, vous permettra de vous diriger - où que vous soyez - jusqu'à un sorcier. Celui ou celle qui sera le plus proche de vous." Tout en parlant, Aniel rejoignit la chaise, ou plutôt son fauteuil - derrière le bureau présent dans la pièce. Plus les années avançaient, moins elle parcourait les rangs. Car même chez les personnes douées de magie, la vieillesse finissait par faire son œuvre et à l'aube de ses quatre-vingt-dix ans, la fatigue et la douleur étaient de plus en plus handicapantes. Mais cela ne l'empêcha pas de faire apparaître sur son tableau à craie les premières informations essentielles à propos du sortilège étudié pendant ce cours. Les jeunes habitués à suivre son enseignement comprirent bien vite le sous-entendu et furent imité par leurs cadets, présents depuis quelques mois à peine à Beauxbâtons.
- "Pour ceux qui n'aurait pas encore compris la différence avec les sorts d'alarme et d'alerte... Ces deux derniers indiquent soit au Ministère des Affaires Magiques soit à un de vos responsables légaux votre position et ces derniers peuvent transplaner pour vous porter secours. Si vous avez bien suivi, vous avez normalement saisi la différence avec le sortilège du guide." Un regard à l'ensemble de la classe sembla indiquer que oui, la différence était intégrée. Cependant, une main se leva parmi un groupe d'élèves de Dagda. Aniel donna la parole au jeune homme dont l'accent accentuait les 'r'. du fait de son origine luxembourgeoise.
- "Vous disiez que le sort ne s'interrompt pas tant qu'on n'a pas trouvé un sorcier." Le français était un peu hésitant parce qu'il n'utilisait pas sa broche, il ne devait pas utiliser cette langue en dehors de l'école, ou peu.
- "Le sort prend fin quand vous avez trouvez le sorcier cible, ou si vous lancer un autre sort, maléfice..." Léger mouvement du poignet.
- "Dès que vous solliciter votre magie pour un autre acte, il s'interrompt." La théorie continuait doucement, ce serait bientôt temps d'expliquer à toutes ces têtes blondes comment lancer ce sort, formule, intonation, gestuelle... Cela faisait encore de nombreux détails à leur donner.
- "Pour ceux qui n'aurait pas encore compris la différence avec les sorts d'alarme et d'alerte... Ces deux derniers indiquent soit au Ministère des Affaires Magiques soit à un de vos responsables légaux votre position et ces derniers peuvent transplaner pour vous porter secours. Si vous avez bien suivi, vous avez normalement saisi la différence avec le sortilège du guide." Un regard à l'ensemble de la classe sembla indiquer que oui, la différence était intégrée. Cependant, une main se leva parmi un groupe d'élèves de Dagda. Aniel donna la parole au jeune homme dont l'accent accentuait les 'r'. du fait de son origine luxembourgeoise.
- "Vous disiez que le sort ne s'interrompt pas tant qu'on n'a pas trouvé un sorcier." Le français était un peu hésitant parce qu'il n'utilisait pas sa broche, il ne devait pas utiliser cette langue en dehors de l'école, ou peu.
- "Le sort prend fin quand vous avez trouvez le sorcier cible, ou si vous lancer un autre sort, maléfice..." Léger mouvement du poignet.
- "Dès que vous solliciter votre magie pour un autre acte, il s'interrompt." La théorie continuait doucement, ce serait bientôt temps d'expliquer à toutes ces têtes blondes comment lancer ce sort, formule, intonation, gestuelle... Cela faisait encore de nombreux détails à leur donner.
Le Narrateur
Ami des Lettres
L'élève qui devait être âgé de seize ans environ si elle se souvenait bien de sa classe, hocha la tête et nota quelques informations supplémentaires sur son parchemin à l'instar d'une bonne partie de son auditoire. Une attitude qui plaisait grandement à la sorcière d'un âge avancé. Concernant ceux qui ne le faisaient pas, Aniel ne dit rien. Chacun était libre des notes qu'il prenait et de payer d'éventuelles conséquences en cas d'oubli plus ou moins volontaire. Elle estimait distiller et répéter suffisamment les informations le temps de ses cours. L'incompréhension était toutefois possible et elle tâchait d'aider les élèves à chacune de leurs questions pertinentes, l'inattention par contre... Ca, c'était une attitude qui lui déplaisait hautement, encore plus lorsque cela perturbait les autres. Aussi, elle n'hésitait jamais à mettre quelqu'un dehors le cas échéant.
- "Le sortilège du guide a pour formule Odigá." Continua Aniel lorsqu'il lui sembla que l'assistance eut finit d'avoir le nez baissé sur ses écrits et qu'un nombre non négligeable de paires d'yeux la regardait. Elle épela le mot, précisant la présence de l'accent aigu sur le a et poursuivit.
- "Il s'agit du dérivé d'un mot grec, comme beaucoup de mots de la langue française. Oδηγός - Odigόs - le guide. Comme certains s'en douteront, il s'agit d'un sort particulièrement ancien, datant de l'Antiquité grecque. Nous sommes bien en peine de lui donner une maternité ou une paternité cependant." Expliqua-t-elle en surveillant qu'aucune question ne survenait. Ca l'aurait étonnée au stade actuel, mais on ne savait jamais. Non. Aucune. Elle pouvait donc poursuivre.
- "Il vous faudra insister sur le son O puis les consonnes. Je sais que c'est peu habituel, mais c'est comme tout, il suffit d'un peu d'entraînement et de persévérance." Dit-elle finalement non sans parcourir la salle des yeux. La gestuelle n'était pas très complexe, mais elle voulait l'attention d'absolument tout le monde. Déjà qu'elle devrait la refaire plusieurs fois en plusieurs points de la salle, elle ne voulait pas que quelqu'un puisse geindre de ne pas avoir eu le temps de l'observer.
- "Le sortilège du guide a pour formule Odigá." Continua Aniel lorsqu'il lui sembla que l'assistance eut finit d'avoir le nez baissé sur ses écrits et qu'un nombre non négligeable de paires d'yeux la regardait. Elle épela le mot, précisant la présence de l'accent aigu sur le a et poursuivit.
- "Il s'agit du dérivé d'un mot grec, comme beaucoup de mots de la langue française. Oδηγός - Odigόs - le guide. Comme certains s'en douteront, il s'agit d'un sort particulièrement ancien, datant de l'Antiquité grecque. Nous sommes bien en peine de lui donner une maternité ou une paternité cependant." Expliqua-t-elle en surveillant qu'aucune question ne survenait. Ca l'aurait étonnée au stade actuel, mais on ne savait jamais. Non. Aucune. Elle pouvait donc poursuivre.
- "Il vous faudra insister sur le son O puis les consonnes. Je sais que c'est peu habituel, mais c'est comme tout, il suffit d'un peu d'entraînement et de persévérance." Dit-elle finalement non sans parcourir la salle des yeux. La gestuelle n'était pas très complexe, mais elle voulait l'attention d'absolument tout le monde. Déjà qu'elle devrait la refaire plusieurs fois en plusieurs points de la salle, elle ne voulait pas que quelqu'un puisse geindre de ne pas avoir eu le temps de l'observer.
Le Narrateur
Ami des Lettres
- "En ce qui concerne la gestuelle, sa difficulté première réside dans le fait qu'elle est tout sauf discrète. Ce qui est un problème majeur dans le monde non magique, vous en conviendrez." Poursuivit la professeur qui venait de sortir sa baguette magique d'un étui dédiée à son rangement sécuritaire.
- "Il vous faudra dessiner un cercle dans le sens horaire sur la paume de votre main. Puis barrer ce dernier d'un trait vertical, de la base du majeur vers le poignet. " Expliqua la professeur tout en reproduisant le geste exactement selon les mots prononcés, cela rendait l'opération particulièrement lente. Elle répéta l'opération en se déplaçant dans les rangs puis, depuis le fond de la classe, fit apparaître sur le tableau à craie l'essentiel des informations concernant le sortilège du guide. Formule, accentuations syllabiques et gestuelle.
Installés aux différentes tables, les élèves de toutes les nationalités commençaient à sortir leurs baguettes magiques, prêts à faire des tentatives. Mais la doyenne des professeurs les arrêta d'une frappe dans ses mains:
- "Tout viendra à point nommé. La pratique doit patienter encore quelques instants. Mais surtout, pas dans dans un espace clos. Pourquoi à votre avis?" Demanda la marnaise qui interrogea la première personne qui leva la main, une étudiante suisse:
- "Nous sommes certainement trop les uns sur les autres dans la pièce?" Tenta la jeune fille.
- "Exact. Il serait dommage que vos catalyseurs respectifs souffrent de vous guider vers votre voisin qui se trouve à moins d'un mètre de là. Il faut bien avoir conscience que c'est votre magie qui va vous guider jusqu'au sorcier ou à la sorcière la plus proche. Plus cette personne sera proche, plus la magie se concentrera pour produire des vibrations dans votre baguette. Ces vibrations sont donc d'autant plus violentes quand vous êtes proches. Mais pour que vous vous rendiez compte, rejoignons les jardins." Poursuivit la professeur en ouvrant la porte d'un coup de baguette. Il allait sans dire qu'il fallait le faire dans le calme.
- "Il vous faudra dessiner un cercle dans le sens horaire sur la paume de votre main. Puis barrer ce dernier d'un trait vertical, de la base du majeur vers le poignet. " Expliqua la professeur tout en reproduisant le geste exactement selon les mots prononcés, cela rendait l'opération particulièrement lente. Elle répéta l'opération en se déplaçant dans les rangs puis, depuis le fond de la classe, fit apparaître sur le tableau à craie l'essentiel des informations concernant le sortilège du guide. Formule, accentuations syllabiques et gestuelle.
Installés aux différentes tables, les élèves de toutes les nationalités commençaient à sortir leurs baguettes magiques, prêts à faire des tentatives. Mais la doyenne des professeurs les arrêta d'une frappe dans ses mains:
- "Tout viendra à point nommé. La pratique doit patienter encore quelques instants. Mais surtout, pas dans dans un espace clos. Pourquoi à votre avis?" Demanda la marnaise qui interrogea la première personne qui leva la main, une étudiante suisse:
- "Nous sommes certainement trop les uns sur les autres dans la pièce?" Tenta la jeune fille.
- "Exact. Il serait dommage que vos catalyseurs respectifs souffrent de vous guider vers votre voisin qui se trouve à moins d'un mètre de là. Il faut bien avoir conscience que c'est votre magie qui va vous guider jusqu'au sorcier ou à la sorcière la plus proche. Plus cette personne sera proche, plus la magie se concentrera pour produire des vibrations dans votre baguette. Ces vibrations sont donc d'autant plus violentes quand vous êtes proches. Mais pour que vous vous rendiez compte, rejoignons les jardins." Poursuivit la professeur en ouvrant la porte d'un coup de baguette. Il allait sans dire qu'il fallait le faire dans le calme.
Le Narrateur
Ami des Lettres
Une fois à l'extérieur avec tout son groupe d'élève qui venait de la suivre dans le calme, tout tentative d'indiscipline s'étant soldée par quelques points en moins dans la course au bouclier de Lancelot et une retenue. Deux fois avaient suffit à faire avorter les autres idées farfelues destinées à faire du bruit dans les couloirs ou à voir de la dispersion une fois à l'air libre et frais de ce mois de janvier. Il fallait maintenant gagner une place fournit en quelques cachettes pour que les élèves se rendent compte par eux même des difficultés liés au sort. Rien ne valait l'expérience pour comprendre. Une fois à l'endroit choisit, Aniel s'éclaircit la voix et donna ses instructions.
- "Vous allez tous vous disperser dans l'espace délimité par le jardin des fleurs. Prenez une attention toute particulière à ne pas abîmer ces dernières, à moins que leur entretiens pour les remettre en état ne soit au programme de quelques uns de vos week-ends." Débuta Aniel.
- "Une personne volontaire ou désignée comme telle commencera l'exercice." Une jeune fille dont le teint révélait des origines métisses leva la main et la vieille sorcière l'interrogea sans tarder.
- "Mademoiselle?"
- "Je veux bien faire l'exercice en la première." Répondit l'adolescente de troisième année d'un ton qui montrait son envie de bien faire.
- "Bien. Vous resterez donc ici le temps que le autres se disperse. Vous irez ensuite au centre du jardin avant de vous essayer au sortilège du guide. Il vous guidera vers la personne la plus proche. Une fois trouvée, elle fera l'exercice en partant du centre. Vous, vous me rejoindrez ici même." Ils étaient encore à l'extérieur de l'espace définir et donc forcément plus éloigné du centre que toute personne à l'intérieur.
- "Et ainsi de suite jusqu'au dernier. Allez-y!" L'exercice était donc désormais lancé. Aniel patienta un peu jusqu'à voir l'anglaise à qui elle demanda ses sensations. Elle décrivit des vibrations diffuses dans sa main d'abord, avec une intensifications quand elle se tournait dans la bonne direction. En se rapprochant, c'était la sensation de diffusion qui changeait. Comme si les vibrations se propageait de plus en plus loin dans ses doigts, sa main, son poignet, jusqu'au milieu de l'avant-bras au moment où elle avait trouvé un élève de Lug. La vieille professeur hocha la tête et demanda à l'élève de se placer un pas derrière elle et reposa la même question à chacun. Ils disaient tous plus ou moins la même chose, les sensations en main variant parfois.
Le dernier élève venait d'arriver jusqu'à elle - puisque tous les autres étaient au moins un pas dans son dos - il fut interrogé à son tour puis ils rejoignirent la classe pour un dernier temps de questions avant de libérer toutes les têtes blondes.
- "Vous allez tous vous disperser dans l'espace délimité par le jardin des fleurs. Prenez une attention toute particulière à ne pas abîmer ces dernières, à moins que leur entretiens pour les remettre en état ne soit au programme de quelques uns de vos week-ends." Débuta Aniel.
- "Une personne volontaire ou désignée comme telle commencera l'exercice." Une jeune fille dont le teint révélait des origines métisses leva la main et la vieille sorcière l'interrogea sans tarder.
- "Mademoiselle?"
- "Je veux bien faire l'exercice en la première." Répondit l'adolescente de troisième année d'un ton qui montrait son envie de bien faire.
- "Bien. Vous resterez donc ici le temps que le autres se disperse. Vous irez ensuite au centre du jardin avant de vous essayer au sortilège du guide. Il vous guidera vers la personne la plus proche. Une fois trouvée, elle fera l'exercice en partant du centre. Vous, vous me rejoindrez ici même." Ils étaient encore à l'extérieur de l'espace définir et donc forcément plus éloigné du centre que toute personne à l'intérieur.
- "Et ainsi de suite jusqu'au dernier. Allez-y!" L'exercice était donc désormais lancé. Aniel patienta un peu jusqu'à voir l'anglaise à qui elle demanda ses sensations. Elle décrivit des vibrations diffuses dans sa main d'abord, avec une intensifications quand elle se tournait dans la bonne direction. En se rapprochant, c'était la sensation de diffusion qui changeait. Comme si les vibrations se propageait de plus en plus loin dans ses doigts, sa main, son poignet, jusqu'au milieu de l'avant-bras au moment où elle avait trouvé un élève de Lug. La vieille professeur hocha la tête et demanda à l'élève de se placer un pas derrière elle et reposa la même question à chacun. Ils disaient tous plus ou moins la même chose, les sensations en main variant parfois.
Le dernier élève venait d'arriver jusqu'à elle - puisque tous les autres étaient au moins un pas dans son dos - il fut interrogé à son tour puis ils rejoignirent la classe pour un dernier temps de questions avant de libérer toutes les têtes blondes.
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